Ladislas Kijno

Il a passé sa jeunesse dans ma petite ville...

Ladislas Kijno

Ladislas Kijno est un peintre français né à Varsovie en 1921. Il s'installe dans une petite ville du Pas De Calais : Noeux-les -Mines en 1925

Arrivé en France dès le milieu des années 1920, il étudia la philosophie, avec notamment Jean Grenier, puis fréquenta l'atelier de Germaine Richier dans l'après-Seconde guerre mondiale.

A la fin des années quarante, il participe avec quelques-uns des plus grands artistes de la première moitié du XX^e siècle - Henri Matisse, Georges Braque, Fernand Léger, Georges Rouault, Jean Bazaine, Germaine Richier, entre autres - à la décoration de l' Église d'Assy (Haute-Savoie) : il peint une Cène pour la crypte.

En 1954, eut lieu à Paris sa première exposition personnelle à la galerie Saint-Placide. Mais c'est en 1957 que Dor de la Sochère, ami de Nicolas de Staël et de Pablo Picasso, prit l'initiative d'organiser la première grande exposition Kijno, au Musée d'Antibes.

Installé en région parisienne depuis la fin des années 1950, Ladislas Kijno a, au fil des décennies, multiplié les vaporisations en peinture et s'est imposé comme l'un des maîtres de la technique dite du froissage. Sa rencontre avec Louis Aragon et Francis Ponge en 1943 l'a également amené à beaucoup œuvrer en collaboration avec des poètes. D'innombrables hommages habitent ses créations : Nicolas de Staël, Nelson Mandela, Galilée puis Gagarine; mais encore les combats aux côtés des peuples algériens ou vietnamiens, Tahiti, la Chine, l'île de Pâques

Il a participé à la biennale de Venise en 1980 et créé la rose de Notre Dame de la Treille à Lille. (source Wikipédia)

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Comments

[François Xavier]

Pour les amoureux - comme moi - de l'oeuvre de Kijno, vient de paraître "Kijno e(s)t l'art d'aime", un essai que j'ai signé à La Romania, un parcours richement illustré. Plus d'info ici :
:url:www.francoisxavier.net/article.php3?id_article=1089

Bonne lecture !

[Hubert Noël]

Mes parents et les siens étaient voisins aux numéros 14 et 18 de la rue Malafoff, à Noeux. Il est revenu nous voir dans les années 67 et il est passé à l'école: une sorte de "pélerinage" à Noeux-les-Mines. Il a reconnu sur mon visage la bouille de mon père( ils étaient tous les deux du même âge)et m'a embrassé. J'étais fier, comme un gamin.
Un artiste, poête, poët...

[Anecdote71]

Rien à voir mais...:
- je suis super contente pour toi que tu sois déplâtrée (je suis prête à parier que tu as fait une séance d'épilation illico presto),
- c'est bien le coloriage, tu devrais essayer ceux-là: http://www.top-mandalas-gratuits.com/